Burkina/Baccalauréat 2021 : Pour le ministre Alkassoum MAIGA, ce n’est pas la dernière organisation des enseignements supérieurs pour le moment

C’est à Ziniaré dans la région du Plateau central que le ministre des enseignements supérieurs, Alkassoum MAIGA avec sa délégation et la gouverneure ont donné le top départ pour l’examen de Baccalauréat 2021 ce jeudi 08 juillet 2021. Le lancement officiel a eu lieu en présence des autorités administratives de la région du plateau central et du ministre de l’éducation nationale, Stanislas OUARO.

Après 09 mois d’apprentissage de connaissances et de savoirs, c’est aujourd’hui que les élèves de la classe de Terminal devront prouver qu’ils ont acquis des connaissances pour avoir leur premier diplôme de l’université, le Baccalauréat. En effet, ce jours 08 juillet, ce sont au total 154 775 candidats qui vont tenter de décrocher le Baccalauréat session 2021.

Il faut noter  que c’est au lycée Basy de Ziniaré que le ministre des enseignements supérieurs, de la recherche scientifique Alkassoum MAIGA, le ministre de l’éducation Stanislas Ouaro et de la gouverneure du plateau-central, Nana Fatoumata Benon, ont souhaité bonne chance aux candidats avant d’offrir officiellement le premier sujet de composition. A entendre la délégation pour la composition ce n’est pas le moment de stresser mais de se concentrer sur les sujets parce qu’il s’agit d’un examen et non d’un concours et les nombres de places ne sont pas limitées.

Quant aux membres des jurys, le ministre des enseignements supérieurs a été très ferme en situant les responsabilités de tout un chacun. Il a demandé le dévouement et l’engagement des jurys pour que les examens se déroulent dans de très bonnes conditions.

Selon le ministre, Alkassoum MAIGA, il faut espérer un taux de succès assez important parce qu’ils ont ouvert des centres universitaires pour que les capacités d’accueils soient améliorées. Pour lui, le succès c’est bien pour les élèves et les parents mais aussi pour le personnel enseignant. Sur la problématique des candidats déplacés internes, le ministre a soutenu que tout est mis en disposition pour qu’ils puissent composer. A la question de savoir si c’est le dernier examen organisé par le ministère des enseignements supérieurs, le ministre se veut catégorique sur la réponse. Pour lui, tant que les textes n’ont pas été relus, ce n’est pas le moment de parler de dernier examen. « Il y a la nécessité d’être mieux préparé pour un transfert », dit-il.

En termes de mobilisation de ressources, il faut souligner que c’est plus de 52 000 acteurs qui sont engagés et une somme de 6 milliards pour le bon déroulement des examens.

Du reste, il convient de préciser que rendez-vous est pris pour le 16 juillet prochain pour la proclamation des résultats du premier tour.

Ismaël KIEKIETA

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