Promotion culturelle : Ouaga abritera bientôt  la 3ème édition du festival Dwi joro/ Buuri Tigsgo

Le comité d’organisation du festival Dwi joro/ Buuri Tigsgo a organisé une conférence de presse le jeudi 14 novembre 2019 à Ouagadougou pour annoncer la 3ème édition du festival.  Placé sous le thème : « culture kassena-Nankana, environnement et contribution au vivre ensemble », ce festival est un cadre de rencontre et d’échange pour les ressortissants du Nahouri : les Kassena et les Nankana.

Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso abritera du  22 au 24 novembre 2019, la 3ème édition du festival Dwi joro/ Buuri Tigsgo. Ce festival est un cadre de rencontre, d’échange et de partage pour les ressortissants du Nahouri : les Kassena et les Nankana. Il permettra aux ressortissants de cette aire géographique de pouvoir échanger, se rencontrer, penser au développement et partager des moments en famille. « Le festival Dwi joro/ Buuri Tigsgo est le plus grand rendez-vous de la promotion des cultures KASSENA-Nankana et de la destination Nahouri », confirme le président du  comité d’organisation, Abraham Abassague.

Placé sous la présidence du ministre des sports et des loisirs, Daouda Azoupiou, le patronage ministre de la culture, des Arts et du Tourisme, ABDOUL Karim SANGO, ce festival a pour thème : « culture kassena-Nankana, environnement et contribution au vivre ensemble ».

Durant ces trois jours, il est prévu : une parade, une foire, de la gastronomie, des mets locaux, une conférence, des rencontres d’échanges, une nuit des danses  et de la chanson traditionnelle. Le tout sera couronné par la grande nuit de distinction et de la musique moderne du Nahouri et des ethnies parenté à plaisanterie.

Toute la population burkinabè et en particulier les ressortissants du Nahouri sont invitées à sortir massivement pour prendre part à ce festival, qui a pour but de faire la promotion de la culture kassena-Nankana.  « Nous leur demandons de faire un effort et venir avec leur famille, et amis pour partager des  moments en famille. Nous invitons également nos parents à plaisanterie : les Bissa, les Yadsé, les Dagara, les Guerma car nous leur réserverons de bonnes surprises et ils ne le regretteront  pas », a conclu Abraham Abassague.

ASSATA SINARE

 

 

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