Travaux de voiries et d’équipements publics à l’arrondissement 6 de Ouagadougou : La qualité des ouvrages fait l’unanimité au sein de la population

La question des qualités des infrastructures et des ouvrages publics a toujours suscité des débats et des plaintes au sein de l’opinion publique burkinabè. Cependant, il faut noter que depuis un certain temps, les voiries de la ville Ouagadougou font petit à petit peau neuve. En effet, certains arrondissements de ladite commune ont connu des travaux de voiries et d’équipements publics. Le Magazine Cité Elégance a bien voulu poser un regard sur les réalisations des infrastructures de l’arrondissement 6 et le constat sur le terrain permet de dire que le calvaire des populations est désormais un lointain souvenir tant la qualité des ouvrages est à saluer.

Rendre la circulation plus fluide et résoudre les problèmes d’inondations récurrentes, tel est l’objectif poursuivi à travers la réhabilitation des voies dans l’arrondissement 6. En effet, le 22 juillet 2019, la commune de Ouagadougou avec le concours du ministère des infrastructures procédait au lancement des travaux de voiries et d’équipements publics à l’arrondissement 6 avec un délai de 14 mois. Pour l’heure, le pari de la qualité des ouvrages  et des objectifs est relevé.

De la cité ASECNA, au croisement du boulevard de l’Insurrection populaire à la Patte-d’oie jusqu’au niveau de l’ex-centre émetteur de Gounghin sur la route nationale N°1 et de la circulaire près du cimetière de Gounghin, à la clinique Suka et le lycée Venegré pour rejoindre la route de Boassa, le constat est clair, de nouveaux bitumes et des équipements publics ont été érigés pour le bonheur des citadins. Il s’est agi de la réalisation entre autres d’un bitumage des voies 2*2, d’éclairages publics, d’implantations de feu tricolore et des ouvrages d’assainissement. Le plus édifiant, c’est l’aménagement des zones de stationnement, un terre-plein avec des carrefours giratoires et les voies piétonnes en pavée.

Pour les riverains, ce qui fait la particularité de ce tronçon, c’est l’aménagement des zones de stationnements qui n’est pas toujours plus perceptible sur les autres voies.

Du reste, en attendant le contrôleur naturel et  le contrôle du Laboratoire national du bâtiment et des travaux publics, la qualité des infrastructures fait l’unanimité au sein de la population et au niveau des réseaux sociaux. « Quand c’est bon ! C’est bon  et il faut l’afficher », a laissé entendre Ismaël ZONGO

Ismaël KIEKIETA

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