L’Association des Communicateurs Culturels du Burkina Faso (ACCBF) a organisé une formation de 48h au profit des journalistes sous le thème : « la technique de prise d’image » à l’Institut Imagine à Ouagadougou. La cérémonie de clôture, suivie de la remise des attestations est survenue le vendredi 25 octobre 2019. L’objectif de cette formation était de permettre aux hommes de media d’être plus professionnels dans les prises d’images et être plus compétitifs sur le marché.
Cette formation en technique de prise de photo, organisée par l’Association des communicateurs culturels du Burkina Faso (ACCBF) a réuni une quinzaine de participants.
Les bénéficiaires de cette formation ont reçu à la fin de la formation des attestations en présence du représentant du ministre de la communication Remis Fulgence Dandjinou, parrain de la cérémonie et Gaston Kaboré président de l’évènement.
Selon le président de l’Association Souleymane Drabo, certaines images constatées lors des reportages ne sont pas aussi fameuses. C’est pourquoi l’association a trouvé opportun d’initier cette formation pour plus de professionnalisme dans le travail du journaliste. « Nous avons jugé nécessaires d’aller à l’école en s’approchant des professionnels dans le domaine pour pourvoir améliorer notre travail et être plus compétitif sur le marché », a souligné M. Drabo. Les modules enseignés lors de la formation sont la technique de prise d’image et le montage. Le représentant de ministre de la communication a félicité l’initiative et l’engagement des membres de l’ACCBF.
Les participants sont repartis satisfaits avec une nouvelle stratégie de prise de vue et une nouvelle technique de montage des images.
L’objectif de l’ACCBF est de pouvoir trouver un cadre d’échange et de partage d’idées entre communicateurs, journalistes et animateurs. Pour M. Drabo les communicateurs culturels doivent s’unir pour mieux élaborer des projets, notamment la formation qui ne doit pas forcement venir de la hiérarchie. Ces communicateurs sont tous invités à proposer des belles images afin de faire valoir la culture burkinabè.
Zonouhan LAYA