MANDELA Day: African Youth Initiative for Development le célèbre en différé

L’African Youth Initiative for Development (AYID) a célèbré en différé le MANDELA Day, le samedi 21 juillet dernier à l’université Aube Nouvelle.

En marge de la célébration du Mandela Day, l’African Youth Initiative for Development (AYID) a consacré une soirée d’hommage à Nelson Mandela le samedi 21 juillet à l’Université Aube Nouvelle. Cette soirée a connu la participation de plus d’une centaine de personnes. En rappel, chaque année, le 18 juillet est célébrée la Journée appelée MANDELA DAY.  Elle a été décrétée en 2009 sous l’impulsion des Nations Unies. Elle est vouée à porter les valeurs de Mandela, membre du Congrès National Africain, et élu 1er président noir de l’Afrique du Sud post-apartheid en 1994.

Après le mot de bienvenue du Vice-président de l’AYID, Wendpagnagdé Franck Ouédraogo, un film documentaire sur la vie de Nelson MANDELA a été projeté. L’objectif visé à travers la projection vidéo est d’inviter la jeunesse africaine et particulièrement celle burkinabè à incarner les valeurs et idéaux de l’icône de l’anti-apartheid : « C’est pour inspirer la jeunesse burkinabè aux leadership, l’engagement social, et la paix sociale qu’avait prôné Nelson Mandela », soutient Wendpagnadé Franck Ouédraogo.

L’occasion faisant le larron, les responsables de l’association ont présenté leur plateforme mobile dénommée « Hope Youth » utilisant les réseaux sociaux. C’est un concept visant à promouvoir l’engagement social des jeunes.  La soirée a enregistré aussi la distribution de nombreux lots et gadgets aux participants.

Cette soirée, marquant officiellement le début des activités de AYID (créée depuis Novembre 2017), est tout un symbole. Elle entend contribuer au développement du Burkina Faso en particulier et du continent africain en général en suscitant l’engagement social des jeunes, en encourageant et   accompagnant leurs initiatives en faveur du développement durable.

Pour joindre l’acte à la parole, la soirée d’hommage  a été couronnée par une formation sur le développement personnel. Sans nul doute, ce n’est qu’un début et non la fin des activités de l’AYID.

 

                                                                                                                                                                           Kadilè SANA

 

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